Le deal à ne pas rater :
Fnac : 2 Funko Pop achetées : le 3ème offert (large sélection de ...
Voir le deal

Partagez
 

 Un souhait osbcur : rencontre bouleversante au couché du soleil (Pv Roy Mustang)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Angelica/Anjuu/Chiara
~ Âme damnée de Wayne ~
Angelica/Anjuu/Chiara

■ Mes messages : 83
■ Age : 28
■ Localisation : quelque part... derrière toi peut-être?

Feuille de Compétence
■ Niveau: Chimère Initiée
■ Capacités : Musicienne/chimère ailée
■ Barre D'XP:
Un souhait osbcur : rencontre bouleversante au couché du soleil (Pv Roy Mustang) Left_bar_bleue22/1200Un souhait osbcur : rencontre bouleversante au couché du soleil (Pv Roy Mustang) Empty_bar_bleue  (22/1200)

Un souhait osbcur : rencontre bouleversante au couché du soleil (Pv Roy Mustang) Empty
MessageSujet: Un souhait osbcur : rencontre bouleversante au couché du soleil (Pv Roy Mustang)   Un souhait osbcur : rencontre bouleversante au couché du soleil (Pv Roy Mustang) Icon_minitimeVen 27 Avr - 20:09

La musique reste en tout et pour tout un art funèbre qui se prolonge sur des notes macabres au fil du temps...

L’éclat du soleil palissait à vue d’œil. Sa course effrénée et quotidienne s’achevait ici, dans la colline, et ses rayons disparaissaient dans un rouge pivoine céleste. Il n’en été encore qu’a ses premières secondes, et les couleurs du ciel se mélanger allègrement, comme dans un pot de peinture qui aurait été agité puis laissé au repos. Les bras dorés de l’astre s’étendaient encore au plus loin qu’ils le pouvaient, caressant doucement la pierre blanche et l’herbe parfaitement entretenue et bien verte. Les dalles blanches luisaient sous cette lumière diffuse et leurs inscriptions reflétaient les mémoires d’antan de tous ces défunts désormais affranchit de toutes dettes. Le calme de ce lieu habituellement saint été troublé par le convoi funèbre d’une sonate au violon. Le son de cette marche rapide résonnait dans tout le cimetière. C’était comme un convoi musical porté par la reine de la mélodie. C’étaient des sons strident et lugubre, comme des plaintes, mais doux et rythmé en même temps, ce qui donnait un air triste et joyeux à la chanson qui se balançait au gré du vent. Là, près de la tombe familiale des Peverell, perchée sur le saule pleureur, se tenait une adolescente.

De ses yeux d’émeraude, elle fixait avec douceur l’épitaphe argentée sur laquelle était écrit les prénoms de cette famille décédée dans un incendie meurtrier, qui leur avait permit de rejoindre leur fille ainée décédé en plein hiver d’une fluxion de poitrine. C’était cette jeune fille qui laissé glissé son archer sur l’instrument lugubre et valsait avec la mélodie qui s’en réchappait. En face d’elle gisaient trois personne de sa connaissance, et d’après les membres d’un passé commun, son propre corps. Ici, face à elle, reposait Franck, Lorraine, Andrew et Angelica Peverell, sa famille. Mais aucune tristesse ne paraissait ternir son beau visage à la fois enfantin et sensuel. C’était le coté pur et bon de cet être aux trois âmes qui jouer de son violon en plein cimetière pour égayer au plus possible la place funèbre. Sa chevelure rousse était lâche et seule une couette fine et haute, se terminant en anglaise et retenue par une barrette en forme de fleur avec des perles, lui donnait un semblant de coiffure. Elle portait l’étrange jupon bleu fendu sur les cotés et une bande du même coloris recouvrait sa poitrine, le tout scellé dans son bustier d’acier. Sa jambe gauche pendait dans le vide alors que la droite, pliée, se maintenait sur la branche qui la supportait. Ses bras fins et pâles bouger en rythme sur l’instrument et une certaine grâce se dégageait de ses mouvements. Tout cela lui conférait un certain charme, son coté musicienne était assez plaisant, surtout au vu de son perchoir, même le vent ne semblait pas la déranger.

Elle était là depuis le début d’après-midi, son cœur avait eut besoin d’être un peu seul face à cette agitation presque dangereuse qui régnait dans son esprit de trihearts. La rouquine avait donc prit possession du corps et s’était diriger d’un pas lent vers le seul et unique endroit où elle se sentait en sécurité, autre que les bras d’un certain blond, le cimetière. Là, devant les tombes de ses parents et la sienne, c’était le seul lieu qui lui inspirait confiance. Alors, les passants s’étaient retournés sur le passage de celle qui était nommé « Enfant de tous les silences » parce qu’ils se souvenaient de cette famille tant unie à travers le mort, de la pauvre Angelica, morte d’une fluxion de poitrine, et que cette adolescente en serait le sosie si l’enfant était encore en vie. Elle était arrivée dans l’antre sacrée des morts avec son étui noir, avait ouvert celui-ci prés de la tombe de sa mère, et avait sortit le bel instrument. Ensuite, elle avait sortit son archer et avait calé contre son épaule le violon dans un silence presque palpable. Elle avait posé l’embout de celui-ci contre la corde, et d’un coup sec, avait joué la première note. Lente et aigu. Le son avait envahi la grande place funèbre comme le vent s’engouffre dans une ruelle. C’était manifestement un duo, et même si personne ne jouait avec elle, on pouvait percevoir au loin comme le toucher d’un piano, répondant à l’appel de l’adolescente. Elle avait fermé les yeux, et son jeu de bras n’avait pas cessé depuis, elle avait volé jusqu'à la branche et s’y était posé, sans jamais s’arrêter. A présent, l’unique mélodie, celle qu’elle avait commencée à son arrivée dans la place, envahissait toujours le cimetière, se répétant en boucle, et si le vent avait pu, il aurait porté la réponse inexistante à ce chant lugubre. Il aurait donné cette impression de musique en retour, le baiser partagé.

« Chant funèbre, je t’appartiens, tu es mon âme, je suis le diable…
Le monde est contre moi, mon charme effraie le passant
Dans la lune claire, je trouve mon destin irrémédiable.
Je suis le mal, et l’on me craint, et je fuis le temps… »


Un craquement résonna dans le cimetière, une odeur nouvelle envahit l’air. Un parfum suave, chaud et légèrement épicé, celui d’un homme. Anjuu continua son jeu musical, mais sa voix ne retentit plus, comme effrayé par cette présence masculine dont elle ignorait tout. Elle n’était pas neutre, elle était le bon coté de son être, mais sa timidité allait de mise. L’adolescente ouvrit ses paupières d’émeraude et fixa de haut l’étranger, en vue de sa tenue, c’était un militaire, mais que venait-il faire ici ?

Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous


Un souhait osbcur : rencontre bouleversante au couché du soleil (Pv Roy Mustang) Empty
MessageSujet: Re: Un souhait osbcur : rencontre bouleversante au couché du soleil (Pv Roy Mustang)   Un souhait osbcur : rencontre bouleversante au couché du soleil (Pv Roy Mustang) Icon_minitimeSam 5 Mai - 17:35



..............▬ ❝ Doux Requiem


Dire que le sommeil de Roy fut profond la nuit dernière, ça ne lui faisait pas injure. C’est à peine si quelques éclats de rêve ou cauchemar, étaient venus en troubler l’eau noire comme un fond de puits. D’un bâillement, le paysage en avait profité pour changer du tout au tout. Le jour agonisait en bronze et en rouge, les derniers rayons de soleil, frustrés, s’en allaient caresser une dernière fois la cime des arbres avant de disparaitre temporairement derrière de haute et monstrueuses collines. La nuit, qu’il avait surprise à jouer les sournoises dans le creux des vallées alentours, avait gagné de l’assurance et s’était glissée dans un silence de loup, jusqu’au cimetière. Rébarbatif le jour, ce coin de Centrale, en indigestion de ténèbres et d’effluves morbides, prenait à présent un aspect bien plus sauvage et terrifiant encore. Dans de solides parterres d’herbes finement coupées qui trempées en ce moment même dans l’eau putride d’une vielle pluie, le Colonel Mustang marchait d’un bon pas, le pied sûr, évitant de glisser dans cette boue collante. Il la connaissait cette boue-là. Elle colle et vous empêche d’avancer, vous accrochant le pied comme piège à ours. La lumière s’était faite avaricieuse et il n’était pas facile de voir où on poser ses bottes. Des ombres tordues et faméliques s’amusaient à grignoter avec douceur les halos clairs qui s’accrochaient vaillamment aux racines déformés de certains arbres environnant.

• Ce fut à cette heure troublante, où jour et nuit s’acoquinent avec dégout pour leurrer les regards et engendrer des parties de ciel chimérique, que Mustang arriva devant la tombe froide de Maes Hughes, son meilleur ami. Pourquoi était-il venu ici ? Bien malin d’y penser, qui aurait pu le dire… Peut-être était-ce ce reste de jeune homme qui n’arrivait pas à accepter son départ précipité. C’est que ça bouillonné fort là-dedans, brouettes de martyre et de peine, vilain mélange de vengeance et de compassion. Roy mit une minute ou deux avant de s’adresser à la tombe du General de Brigade d’un chuchotement brisé de larmes invisible en guise de bonjour. Quand enfin il eut trouvé ses mots, un long frisson remonta son échine pour venir lui glacer la moelle. Ce n’était pas tant les brises malsaine du vent qui lui glaça ainsi le sang, mais plutôt les souvenirs et l’odeur de la mort qui pesaient et reposeraient ici a jamais, qui emporta son masque si froid pour laisser glisser des petites larmes chaude de regrets. Même à cette distance, où il distinguait parfaitement le nom de son camarade gravé dans la pierre, il le sentait loin de lui, trop loin pour n’avoir ne serait-ce que l’impression de vraiment lui parler. Pourtant, bizarrement, il pouvait le sentir, tenant fermement son épaule, lui chuchotant encore et encore qu’il devait se caser en trouvant une femme. Roy se surpris à rire, essuyant d’un revers de la main ses larmes sauvages. Il devait bien être idiot à parler tout seul comme ça, mais c’est avec un brillant sourire qu’il lui raconta en détail sa petite journée. Rien de particulier, tout était bien banale, mais lui en faire part était devenu quelque chose de commun entre les deux jeunes hommes. De temps à autre, pendant son monologue, quand il se courbait en cherchant quoi dire, le militaire soupirait des petits rires nerveux. Il ne montrerait surement cette facette fragile de lui-même à personne d’autre que son cher Maes.

• Finissant doucement en déposant une seule et unique fleur sur sa tombe, découvrant sa tête de son couvre-chef, il souhaita d’une voix innocente une bonne et agréable nuit à son ami décédé et se retourna, lui tournant à présent le dos. Le silence fut néanmoins brisé par quelques notes de musique. Une douce mélodie mélancolique s'échappé de ce qui semblait être un violon. Le Colonel se surpris à reconnaitre cette étrange complainte et sans s’en rendre compte se mit à chantonner. Mains dans les poches, regard presque brillant d’admiration, il traina par miracle ses pas vers cet air enivrant sans tomber. Une toute petite voix, presque inaudible se fraya un chemin dans le creux de ses oreilles. Des paroles bien triste se disait-il au fur et à mesure qu’il s’approchait de sa source.




    ❝ Chant funèbre, je t’appartiens, tu es mon âme, je suis le diable…
    Le monde est contre moi, mon charme effraie le passant
    Dans la lune claire, je trouve mon destin irrémédiable.
    Je suis le mal, et l’on me craint, et je fuis le temps…

Il cherchait, cherchait encore, comme rapace traquant mulot, mais il ne cherchait pas là où il fallait et c’est de son oreille fine qu’il redressa doucement son regard noir vers une adolescente. Jeune, voir même très jeune, elle s’était perchée sur une fine branche. Son poids était surement fait de plume et à ce commentaire personnel Mustang afficha un tendre sourire. Sa silhouette encore changeante était tout d’une petite fille humaine. Ses longs cheveux roux lui rappelaient vaguement la longue et douce tignasse d’Elizabeth. Ses yeux par contre, à demi ouvert de surprise et de peur, étaient d’un vert peu commun. Il n’était pas difficile de les comparer à l’une de ces pierres précieuses, l’émeraude. Ils brillaient dans cette nuit si sombre, que Mustang les auraient volontiers pris pour ceux d’un chat si il les avait vues de plus loin. Il n’était pas très sûr de son geste, mais le Colonel lui tendit doucement l’une de ses mains gantées pour la faire descendre de son arbre.

    ❝ Vous jouez merveilleusement bien du violon mademoiselle.


• Il aurait pu tout simplement laisser cette demoiselle tranquille, mais Roy avait l’urge de se changer les idées et cette jeune fille ferait parfaitement l’affaire.


Revenir en haut Aller en bas
Angelica/Anjuu/Chiara
~ Âme damnée de Wayne ~
Angelica/Anjuu/Chiara

■ Mes messages : 83
■ Age : 28
■ Localisation : quelque part... derrière toi peut-être?

Feuille de Compétence
■ Niveau: Chimère Initiée
■ Capacités : Musicienne/chimère ailée
■ Barre D'XP:
Un souhait osbcur : rencontre bouleversante au couché du soleil (Pv Roy Mustang) Left_bar_bleue22/1200Un souhait osbcur : rencontre bouleversante au couché du soleil (Pv Roy Mustang) Empty_bar_bleue  (22/1200)

Un souhait osbcur : rencontre bouleversante au couché du soleil (Pv Roy Mustang) Empty
MessageSujet: Re: Un souhait osbcur : rencontre bouleversante au couché du soleil (Pv Roy Mustang)   Un souhait osbcur : rencontre bouleversante au couché du soleil (Pv Roy Mustang) Icon_minitimeDim 27 Mai - 19:07

Eternal Sonata


❖ Angelica regarda au loin la silhouette de l'homme se rapprocher, il avait le pas lourd de ceux qui ont travailler longtemps et qui se pause un instant. Plus il s'approchait, plus le parfum devenait fort et suave. Celui d'un personne qu'elle avait déjà croisé, sous Anjuu. Oui, le militaire lui était familier, et elle l'avait côtoyé en même temps que Riza, mais sous Anjuu, elle était une autre. Alors, la rousse, avait cessé de chanter, parce que sa voix ne devait être écoutée que par une seule et unique personne, personne qu'elle n'avait pas revue depuis tellement longtemps que c'était devenue une sorte de rêve impossible. L'homme fut bientôt assez proche pour qu'elle puisse le distinguer dans la pénombre, le noir n'obstruant pas le moins du monde sa vision nocturne, merci la chauve-souris. Ses yeux émeraudes se posèrent sur le visage un peu rond mais harmonieux de l'homme. ses yeux bruns semblait un peu vide, mais gardait cette lueur énigmatique et lointaine. La rouquine se lécha les lèvres et poursuivit son jeu de corde avec délicatesse, les pinçant dans des accords parfaits qui résonnèrent longtemps dans tout le cimetière. L'homme fut encore plus proche, et cette fois-ci, elle pouvait même entendre son souffle expirer à rythme régulier. Sans mot, elle continua de jouer de son violon. La sonate éternelle se ralentit, autant dans le rythme que sur les notes, et les accords se firent plus lent, alors que la rouquine se relevait de la branche et toisait de haut le militaire. La main ganté toujours tendue de celui-ci semblait l'inciter à s'en saisir pour descendre, mais elle n'était pas sure de vouloir le faire. Après tout, il pouvait très bien être comme tous les hommes que lui décrivait un peu plus Chiara, chaque jour que la vie lui permettait de tenir. Peut-être était-il un de ces monstres qui vous aiment et vous jettes juste après comme il semblait y en avoir des milliers. Pourtant, son regard n'était pas agressif, juste un peu... brisé?

-Vous jouez merveilleusement bien du violon mademoiselle.

❖ Involontairement, elle sursauta, ne s'attendant pas le moins du monde à cette remarque, ce compliment : chose agréable qu'elle ne recevait plus depuis longtemps. Alors, timidement, elle s'agenouilla, prenant par la main de l'archer le reste de l'instrument et se saisit de cette main de tissu. Sans pour autant quitter son arbre, gardant simplement ce contacte délicieux au bout de ces doigts, elle planta ses orbes émeraudes dans celle brune de son vis-à-vis. Il était différent de ces souvenirs, plus mature, semblant légèrement plus vieux, comme si le ciel avait décidé de s'écraser sur ses épaules, étrange, parce qu'elle ne pouvait empêcher ce sentiment compatissant de s'emparer de sa poitrine à son sujet. Elle soupira, le cœur battant, et laissa ses jambes se balançaient dans le vide avant de descendre totalement de l'arbre, se retrouvant désormais face au militaire, l'alchimiste des flammes. Sa mains toujours dans la sienne, Angelica eut un micro-sourire et dénoua leur membre respectif pour faire une petite révérence, chaque partie de l'instrument dans ses mains. La chimère imparfaite ne savait pas trop comment réagir, elle avait un peu faim, mais elle ne pouvait pas le laisser seul non plus alors qu'il l'avait abordé ainsi, aussi gentiment, sans même la reconnaitre. Faut dire que malgré son corps pour trois, chacune d'elle possédait des caractéristiques légèrement différente. Et elle, malgré ce même corps, donnait l'impression d'être une enfant de douze ans, malgré sa poitrine ferme et sa taille. C'était particulièrement étrange, mais c'était ainsi, sous Angelica, elle était plus enfant, plus douce. Alors que Chiara était une vraie enjôleuse, sensuelle et toujours froide malgré tout. Alors qu'Anjuu, la neutre, était simple, impassible et sans émotions réelles, bien qu'elle soit simplement le reflet des deux autres réunies.

-Je vous remercie, Roy Mustang...

❖ Évidemment, il ne la reconnaissait pas, mais comment avait-elle put oublier l'alchimiste des flammes, alors que celui-ci, dévaster par le chagrin, l'avait prise pour la meurtrière de son ami, alors qu'elle venait donner des informations à Riza. Ce jour là, elle avait due apprendre à recoudre, car la moitié de sa robe avait brulé. Un sourire simple et menu fleurit sur les lèvres de l'adolescente rousse alors qu'elle se reculait un peu, tandis que le visage ahurit de l'alchimiste lui faisait face. L'adolescente reposa le magnifique violon d'ébène sur son épaule, et d'un geste vif et expert, l'archer revint frotter les cordes, créant à nouveau ces sons si étranges et funèbres malgré leur beauté évidente. La musique résonna à nouveau dans toute la place des morts, couvrant le chant nocturne des oiseaux, et celui des insectes. Mais malgré ce jeu de sons, variant les notes hautes et basses, elle observa du coin de l’œil la tombe de ses parents, où elle était censé aussi reposer. Un sourire timide se dessina sur ses lèvres, alors que d'un regard, elle incitait l'alchimiste à s'asseoir au pied de l'arbre centenaire. La musique laisser filer le temps plus rapidement, comme étrangement magique, puisque ses notes se prolonger sur des temps plus longs, et permettait ainsi d'oublier les secondes. La rouquine se tourna ensuite vers le Colonel Mustang et demanda d'une voix douce et enfantine :

-Mais dites-moi, que faites-vous ici?

Elle avait posé cette question innocemment, sans pour autant s’arrêter de jouer, après tout, elle était capable de faire plusieurs choses en même temps, même en criant spirituellement sur Chiara qui souhaiter tuer le colonel...


Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé




Un souhait osbcur : rencontre bouleversante au couché du soleil (Pv Roy Mustang) Empty
MessageSujet: Re: Un souhait osbcur : rencontre bouleversante au couché du soleil (Pv Roy Mustang)   Un souhait osbcur : rencontre bouleversante au couché du soleil (Pv Roy Mustang) Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

Un souhait osbcur : rencontre bouleversante au couché du soleil (Pv Roy Mustang)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Roy Mustang. [65%]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Fullmetal alchemist ::  :: Les Rps terminés ou abandonnés-
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser